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Faire l’histoire d’un peuple n’est jamais simple. Faire l’histoire du peuple gitan en Espagne l’est encore moins. Bien souvent, on connait leur passĂ© Ă travers la plume des autres. D’oĂą viennent-ils ? Quels ont Ă©tĂ© leurs rapports avec les autoritĂ©s et la population de la PĂ©ninsule Ă travers les siècles ? Qu’apportent-ils Ă la culture espagnole ? Quelle est leur situation actuelle ? D’oĂą viennent-ils ? Autant briser directement le mystère il n’y a aucune certitude absolue quant Ă leur provenance. "Comme pour bien des pĂ©riodes historiques lointaines", direz-vous et vous n’aurez pas tort. Ce que l’on sait mieux, pour le sujet qui nous intĂ©resse, c’est que les Gitans pĂ©nètrent en Espagne pour la première fois au dĂ©but du XVe siècle. Leurs chefs sont dĂ©signĂ©s comme provenant "d’Egypte Mineure". C’est oĂą ça sur la carte l’Egypte Mineure ? Et bien, il s’agit en rĂ©alitĂ© du terme mĂ©diĂ©val utilisĂ© pour dĂ©signer une zone de l’Est de la MĂ©diterranĂ©e Chypre, Syrie notamment. Aujourd’hui, les chercheurs pensent que les Gitans viennent plutĂ´t du nord-est de l’Inde qu’ils auraient quittĂ© aux alentours de l’An Mil avant d’entreprendre leur grande aventure vers l’Occident. Quoi qu’il en soit, et parce que l’étymologie est toujours intĂ©ressante, le terme "gitanos" en espagnol "gitans" en français, "gipsys" en anglais provient de la dĂ©formation du terme "egipcianos" c’est-Ă -dire "Ă©gyptiens" dans la langue de l’époque. Le bon temps des nobles d’Egypte Mineure Nous l’avons vu, les Gitans pĂ©nètrent en Espagne au dĂ©but des annĂ©es 1400. Bien souvent, ils se prĂ©sentent comme chrĂ©tiens et disent ĂŞtre en pèlerinage vers Saint Jacques de Compostelle. Leurs chefs chaque groupe Ă©tant dirigĂ© par un homme portent des titres de noblesse "conte" ou "duc" d’Egypte Mineure. Laissez-passer de Jean d’Egypte Mineure accordĂ© par Alphonse V, 1425 source Ministère de la Culture, gouvernement espagnol C’est le cas de Jean Juan qu’on prĂ©sente comme le premier Gitan d’Espagne. Nous savons que cet homme bĂ©nĂ©ficie pour lui et sa suite d’un laissez-passer reproduit ci-dessus signĂ© en 1425 par le roi Alphonse V d’Aragon dit le "Magnanime" ce qui laisse Ă penser en passant que ce roi mĂ©riterait son surnom. Ce document accorde une protection Ă ces premiers Gitans Ă traverser les PyrĂ©nĂ©es afin qu’ils puissent passer sans encombre en terres espagnoles. Par la suite, nous retrouvons la trace de Gitans en Galice en 1436. Ils sont reçus avec les honneurs Ă JaĂ©n, en Andalousie, trente ans plus tard. C’est bien souvent oubliĂ© de nos jours, mais les Gitans sont, dans un premier temps, bien accueillis par les pouvoirs politiques ainsi que la population de la pĂ©ninsule IbĂ©rique. Cette attitude doit se comprendre dans le contexte de la fin de la "Reconquista" oĂą la diffĂ©rence est beaucoup plus tĂ©nue entre le sĂ©dentaire et le nomade qu’entre le chrĂ©tien et le musulman. Le fait qu’ils se prĂ©sentent comme chrĂ©tiens est capital. On estime Ă environ le nombre de Gitans dans la pĂ©ninsule IbĂ©rique au XVe siècle. PrĂ©cisons qu’il ne s’agit pas d’un groupe unifiĂ© mais de plusieurs entitĂ©s d’une centaine de personnes qui sont toujours dirigĂ©es par un homme. Ces ensembles sont donc indĂ©pendants mĂŞme si des liens familiaux peuvent exister entre eux. Dès cette Ă©poque, ils sont nomades et vivent du spectacle ou de la divination. Les premiers historiens Ă avoir travailler sur l’histoire du peuple gitan estiment que cette pĂ©riode qui s’étend de 1425 Ă 1499 constitue un âge idyllique entre les nomades et les autochtones. Contre toute attente, la situation se tend Ă la toute fin du siècle. Le temps des rois catholiques moins favorable aux Gitans Comme nous l’avons vu, les Gitans Ă la fin du XVe siècle Ă©taient acceptĂ©s en Espagne et mĂŞme relativement intĂ©grĂ©s. Par exemple, en 1498, Christophe Colomb, lors de son troisième voyage, en emmène quatre avec lui. Ce seront ainsi les premiers Gitans Ă toucher le sol du Nouveau Monde. De mĂŞme, lorsque les couronnes d’Aragon et de Castille s’unissent en 1479, Ferdinand et Isabelle, les Rois Catholiques, ont une attitude plutĂ´t conciliante envers eux. Ils conservent les lettres de protection existantes pour les Gitans prĂ©sents et en promulguent mĂŞme de nouvelles c’est le cas en 1491 Ă un certain Philippe d’Egypte Mineure. Les Rois catholiques Ferdinand et Isabelle source image tirĂ©e du domaine publicCependant, mus par une volontĂ© de centraliser, d’unifier, de rĂ©tablir l’ordre et poussĂ©s par une Eglise puissante, les Rois Catholiques promulguent la "Pragmática" de Medina del Campo en 1499. Le statut des Gitans est durement revu dans ce document qui fera date. Le choix est simple soit ils se sĂ©dentarisent et se mettent sous la protection de seigneurs autochtones soit ils sont expulsĂ©s. Ils ont deux mois pour prendre une dĂ©cision. C’est un coup de tonnerre pour la communautĂ© gitane. Le petit-fils des Rois Catholiques, Charles Quint, ira plus loin en ajoutant qu’un Gitan pris pour la troisième fois en flagrant dĂ©lit de vagabondage pourra ĂŞtre emprisonnĂ© et mĂŞme rĂ©duit en esclavage pour toujours. Par ailleurs, les Gitans qui ne se sĂ©dentarisent pas dans un dĂ©lai de 70 jours seront envoyĂ©s aux galères pendant plusieurs annĂ©es. Cette politique est poursuivie par Philippe II qui interdit aux Gitans de se rendre en AmĂ©rique et fait mĂŞme rapatrier ceux qui s’y trouvaient dĂ©jĂ . MĂŞme le grand Ă©crivain Cervantès n’est pas tendre avec les Gitans. Dans un de ces romans, il Ă©crit "Il semble que les Gitans et les Gitanes viennent seulement au monde pour voler". MalgrĂ© tout, la situation des Gitans s’amĂ©liore momentanĂ©ment sous le roi Philippe IV qui, en 1633, dĂ©cida, pour des raisons dĂ©mographiques avant tout, de maintenir les Gitans sur le territoire pĂ©ninsulaire. L’époque considĂ©rait, cyniquement sans doute Ă nos yeux contemporains, que chaque soldat comptait dans une Europe perpĂ©tuellement en guerre. Le temps des persĂ©cutions Des temps plus durs attendaient les Gitans d’Espagne. En effet, au milieu du XVIIIe siècle eut lieu la "Gran Redada" c’est-Ă -dire une politique impulsĂ©e par les pouvoirs politiques et surtout religieux qui avaient dĂ©cidĂ© d’en finir avec le mode de vie gitan. L’opĂ©ration, qui aboutit Ă l’emprisonnement de Gitans, germa dans l’esprit de l’évĂŞque d’Oviedo et fut autorisĂ©e par Ferdinand VI dit "le Juste" ce qui laisse Ă penser en passant que ce roi ne mĂ©riterait pas forcĂ©ment son surnom. Cette pĂ©riode, qui constitue un temps fort de la mĂ©moire gitane dans la PĂ©ninsule, dura près de vingt ans avant que le roi Charles III ne rĂ©tablisse la situation en libĂ©rant les derniers prisonniers en 1767. Gitans fuyant Tolède en 1749 Par la suite, les Gitans traversent le XIXe siècle en poursuivant leur histoire espagnole entre contacts, intĂ©gration, mĂ©fiance et rejet. Toutefois, le ciel s’assombrit Ă nouveau pour eux comme pour le reste des Espagnols au milieu des annĂ©es 1930. La Guerre Civile est vue par les Gitans comme un conflit qui ne les concerne pas en marge de la sociĂ©tĂ© espagnole, ils s’estiment en marge de ses conflits internes. Cela n’empĂŞche pas certains Gitans Ă s’engager, dans le camp anarchiste notamment. Mais le plus souvent, les Gitans ont Ă©tĂ© forcĂ©s de prendre parti. Les annĂ©es franquistes furent particulièrement rudes pour la communautĂ©. Pour faire simple, les Gitans incarnaient une sorte de contre-modèle pour les idĂ©ologues de l’Etat espagnol marginalisĂ©s, discriminĂ©s et mĂŞme accusĂ©s de propager des maladies. Les Gitans aujourd’hui Dire que tout a changĂ© de nos jours serait faux. Toutefois, il convient de prendre en compte des Ă©volutions parmi lesquelles une institutionnalisation progressive des Gitans avec des associations et des instances reprĂ©sentatives qui voient le jour dès les annĂ©es 1980. Outre le combat pour une meilleure intĂ©gration des Gitans dans la sociĂ©tĂ©, ces entitĂ©s tâchent de faire vivre et de faire connaĂ®tre aux non-Gitans la mĂ©moire d’un peuple prĂ©sent dans le pays depuis six siècles. Combien sont-ils de nos jours ? De au XVe siècle, les Gitans sont, en ce dĂ©but de XXIème siècle, environ en Espagne. Notons qu’il s’agit d’une population très jeune car la moitiĂ© de celle-ci aurait moins de 25 ans. Ce qui change vĂ©ritablement la donne pour une large frange de la population gitane c’est la mise en place de l’Etat providence après le franquisme l’accès Ă l’éducation, Ă la santĂ©, Ă la retraite et aux logements sociaux. A la fin des annĂ©es 1970, près des Âľ des Gitans habitent dans des campements ou des logements insalubres ils sont moins de 20% dans ce cas actuellement. Si l’avènement de la dĂ©mocratie en Espagne a amĂ©liorĂ© la vie des Gitans, des inĂ©galitĂ©s et des problèmes demeurent. A titre d’exemple, si presque tous leurs enfants vont Ă l’école, seulement 2% arrivent jusqu’à l’universitĂ© parmi lesquels une Ă©crasante majoritĂ© de jeunes femmes. Notons toutefois que, dans les annĂ©es 1980, presque qu’aucun enfant gitan n’était scolarisĂ©. Cette question de l’éducation est d’ailleurs rĂ©vĂ©latrice de la position complexe des Gitans dans la sociĂ©tĂ© espagnole entre marginalitĂ© subie et marginalitĂ© choisie. Ainsi, au dĂ©part, les parents de la communautĂ© craignaient que la scolarisation de leurs enfants dans des Ă©coles espagnoles allait en faire des "gadjos" c’est-Ă -dire des non-Gitans. Enfin, sur le plan professionnel, des divergences existent Ă©galement entre non-Gitans et Gitans 85% des premiers sont salariĂ©s contre un tiers de la population active gitane. Certains membres de la communautĂ© rĂ©ussissent brillamment Ă s’intĂ©grer dans la vie publique espagnole et parviennent Ă des fonctions supĂ©rieures. C’est le cas de MarĂa Hernández, conseillère municipale "Unidas Podemos" de Castille et LĂ©on ou encore de l’avocat cordouan Marcos Santiago. MarĂa Hernández source Podemos Castilla y LeonIl n’en reste pas moins que, si l’Etat providence a constituĂ© pour les Gitans une Ă©volution positive, les difficultĂ©s ne se sont pas envolĂ©es en quelques annĂ©es. Demeurent de nos jours de vĂ©ritables problèmes socio-Ă©conomiques comme le chĂ´mage qui atteint des chiffres très importants dans la communautĂ©. Des Gitans socialement marginalisĂ©s mais culturellement apprĂ©ciĂ©s ? Le cas de la musique gitane Quand on pense aux Gitans, de nombreux clichĂ©s nous traversent l’esprit. Parmi ceux-ci, l’image de dynamiques joueurs de guitare qui font ventiler leur main en grattant les cordes de manière Ă produire une rythmique très reconnaissable. Ajoutez Ă cela la vision de femmes dansant en robes rouges en tapant dans leurs mains et vous obtenez une association plus ou moins consciente de la culture gitane et du flamenco. Il faut en convenir, le terme "flamenco" est souvent utilisĂ© Ă tort et Ă travers et surtout par nous autres, expatriĂ©s en Espagne. Toujours est-il que si les Gitans n’ont certainement pas inventĂ© le flamenco dont les origines sont toujours aujourd’hui très floues, ils ont dans une large mesure contribuĂ© Ă fixer le genre par leur rĂ©interprĂ©tation. Reconnu "patrimoine culturel immatĂ©riel de l’humanitĂ©" en 2010, le flamenco est une composante majeure de l’identitĂ© andalouse d’abord et, par extension, de la culture espagnole. Notons que le flamenco doit son renouvellement Ă des hommes comme Paco de Lucia ou CamarĂłn de la Isla le premier a grandi en Andalousie dans un quartier populaire Ă majoritĂ© gitane et le second est issu d’une famille de la communautĂ©. Ensemble, ils renouvellent le genre en faisant naitre le "Nouveau Flamenco", dans la deuxième moitiĂ© du XXe siècle. Enfin, d’autres musiciens gitans ont Ă©galement marquĂ© durablement la musique espagnole de ces dernières dĂ©cennies. C’est le cas de groupes influencĂ©s par la rumba comme "Los Chichos", "Los Chungitos" ou "Las Grecas" par exemple. On s’éloigne des canons du flamenco et mĂŞme l’origine gĂ©ographique est diffĂ©rente Los Chungitos viennent d’EstrĂ©madure tandis que les deux autres groupes sont madrilènes. Comme parfois dans les groupes de musiques et très souvent dans les groupes gitans, la dimension familiale est capitale "Las Grecas" sont deux sĹ“urs et "Los Chungitos" trois frères. Le succès commercial est considĂ©rable. Par exemple, "Los Chichos" ont vendu plus de 22 millions d’album. Notons, et c’est intĂ©ressant pour notre sujet, que les thèmes des chansons de ces trois groupes sont très souvent en lien avec les difficultĂ©s de la condition des Gitans Ă notre Ă©poque pauvretĂ©, exclusion, drogue…. En dĂ©finitive, la rĂ©alitĂ© actuelle des Gitans est complexe. Entre marginalitĂ© subie et marginalisĂ©e choisie. Entre amĂ©lioration des conditions d’habitats et de l’accès Ă l’éducation mais crainte des anciens que les jeunes deviennent des "gadjos" ignorants de leur culture d’origine. Entre plĂ©biscite de la musique gitane comme part de l’identitĂ© espagnole et mĂ©fiance pĂ©renne Ă l’égard des anciens nomades.
Ptainc'est que de l'amour Putain c'est génial Je prends un panard pa-panard pas possible Dis donc j'suis pas chasseur mais j'lui mettrais bien une cartouche Écarte les roseaux j'vais pêcher au large Au putain j'me sens comme un gitan au salon d'la caravane Tiens j'te fais la moustache au chocolat Ptain j'me sens comme une couille dans un sloggy
L'ensemble des coutumes du peuple gitan a changĂ© historiquement. Il existe de nombreuses diffĂ©rences en termes d'usages et de coutumes des gitans d'Espagne par rapport Ă ceux des autres pays europĂ©ens ou sud-amĂ©ricains, bien qu'il y ait quelques caractĂ©ristiques communes que nous dĂ©taillerons vous avez un index avec tous les points que nous allons traiter dans cet de l'articleQuelles sont les principales coutumes des gitans? tsiganeQuand on parle de pouvoir» chez les gitans, cela se rĂ©fère au pouvoir qu'une famille de cette race a, qui sera d'autant plus grande qu'elle aura d'enfants de sexe masculin. Cette coutume est basĂ©e sur l'histoire du peuple gitan, selon laquelle plus il y a d'hommes, mieux une famille peut se les hommes d'une famille gitane peuvent ĂŞtre forts, mais ils doivent quand mĂŞme gagner le respect des autres au fil du temps, ce qui ne peut ĂŞtre stricte conformitĂ© de la loi normes roms sont orales, ce qui signifie qu'elles n'apparaissent dans aucun type de livre de culte ou de code de droit Ă©crit. La chose normale est que les anciens ou les patriarches prĂ©sident la loi gitane, donc ce règlement peut varier selon chaque famille et les croyances de leur patriarche. MĂŞme ainsi, en gĂ©nĂ©ral, les actes suivants sont considĂ©rĂ©s par les Roms comme des crimes impardonnablesVol, tromperie ou accusation de gitane Ă de la famille dans les moments des frontières d'une famille opposĂ©e».Violation des lois imposĂ©es par un conseil d' convient de noter que, s’agissant d’une loi orale, les limites entre ce qui diffĂ©rencie la loi obligatoire des pratiques d’usage gĂ©nĂ©ralement pratiquĂ©es, mais non obligatoires des Roms sont souvent floues et facilement confuses, ce qui conduit souvent Ă des conflits mĂŞme au sein d'une mĂŞme violation de la loi tzigane entraĂ®ne gĂ©nĂ©ralement l'imposition d'un type de sanction qui dĂ©pendra de la gravitĂ© du crime. Les sanctions habituelles peuvent aller de l'agression physique Ă l'interdiction expresse de marcher sur un certain territoire. La sanction la plus grave serait expulsion du groupe familial auquel il appartient, dit exil».Valeurs fondamentalesLes Tsiganes ont toujours eu des traits identitaires caractĂ©ristiques et un mode de vie partiellement nomade en ce sens que, bien qu'ils vivent avec une certaine sociĂ©tĂ©, ils n'ont jamais mis de cĂ´tĂ© leurs coutumes et leurs valeurs Tsiganes ont un identitĂ© de fer, c'est pourquoi ils se comportent diffĂ©remment selon qu'ils traitent avec des Ă©trangers ou des proches. Alors que les premiers reçoivent gĂ©nĂ©ralement un traitement Ă©tranger comme cela se produit en Espagne avec l'utilisation du terme payer pour dĂ©signer ceux qui ne sont pas gitans, lorsqu'il s'agit de parents, l'autre doit ĂŞtre dĂ©fendu s'il a Ă©tĂ© offensĂ©, quelle qu'en soit la raison. Ainsi, ses principales valeurs sontLa famille comme institution suprĂŞmeLes enfants et les personnes âgĂ©es jouissent du plus grand respect et de la plus haute considĂ©rationPrendre soin des enfants et des personnes âgĂ©esĂŠtre hospitalier est une obligation qui doit s'exprimer avec plaisirL'accomplissement de la parole donnĂ©e et surtout la loi tsiganeLa libertĂ© comme condition naturelle de l'individuSolidaritĂ© entre membres d'un mĂŞme groupe ethniqueRespect des dĂ©cisions des anciens si elles font partie de la loi romS'il y a un quelconque type de conflit entre les gitans, ceux qui doivent dĂ©cider de la destination finale dudit diffĂ©rend seront les gitans de respect ou des gars de la rĂ©gion, qui formeront un Conseil des Anciens pour dĂ©battre de ce qui devrait ĂŞtre fait et enfin prendre une mesure qui mettra fin au conflit. La dĂ©cision des gitans de respect sera basĂ©e, avant tout, sur les valeurs Ă©numĂ©rĂ©es ci-dessus et doit ĂŞtre bĂ©nĂ©fique pour les deux parties, qui doivent l'accepter quelle qu'elle mariage et mariageUn couple gitan qui dĂ©cide de se marier doit passer par deux phases d'abord, la pĂ©tition, puis le mariage lui-mĂŞme. La demande est la demande de la main de la gitane et commence par les applaudissements ou la demande de la main, quelque chose qui se passe entre le couple. Si tout se passe comme prĂ©vu, l'approbation doit ĂŞtre officialisĂ©e et communiquĂ©e Ă la famille par le biais de la fois annoncĂ© Ă l'ensemble du groupe, le mariage sera organisĂ©, ce qui dĂ©pendra des moyens financiers des familles concernĂ©es. Cependant, les mariages sont la principale cĂ©rĂ©monie sociale cĂ©lĂ©brĂ©e dans la communautĂ© gitane, ils sont donc gĂ©nĂ©ralement organisĂ©s en grand. Les mariages tsiganes ont lieu le matin selon le rite Ă©vangĂ©liste ou catholique. De plus, selon la tradition gitane, les deux membres du couple doivent arriver vierges au mariage, ce que l'on appelle la les communautĂ©s gitanes les plus machistes considèrent que les hommes ont la libertĂ© de choisir s'ils veulent conserver leur puretĂ© jusqu'au mariage ou non, donc quel que soit leur choix personnel, il sera respectĂ©. Cela ne s'applique pas aux femmes, qui ne peuvent pas se marier si elles ne sont pas vierges, Ă moins qu'un homme cĂ©libataire ne veuille se rĂ©unir» avec elle, comme le dit la tradition virginitĂ© de la femme est si importante pour la communautĂ© gitane que l'appel lui est fait le jour du mariage test de mouchoir. Cet acte, qui est effectuĂ© par une femme qui reçoit le nom de ajuntaora, consiste Ă introduire un mouchoir Ă la mariĂ©e dans son vagin pour vĂ©rifier si le mouchoir est tachĂ© ou non de sang les soi-disant trois roses». S'il tache, il ne fait aucun doute qu'il est vierge et peut donc se l'Ă©preuve du mouchoir, en plus de la "ajuntaora", plusieurs femmes invitĂ©es au mariage agissent comme tĂ©moins. Le foulard utilisĂ© mesure gĂ©nĂ©ralement un demi-mètre de long, est blanc et est dĂ©corĂ© de roses et d'une bande brodĂ©e. La rĂ©alisation de ce test est un service prĂ©alablement souscrit et pouvant coĂ»ter jusqu'Ă 600 euros, prix du mouchoir compris. Cet acte dĂ©montre la lĂ©gitimitĂ© du mariage et est cĂ©lĂ©brĂ© en chantant le cĂ©lèbre internationale du peuple tsiganeDepuis 1971, le 8 avril de chaque annĂ©e, la JournĂ©e internationale du peuple tsigane est cĂ©lĂ©brĂ©e pour commĂ©morer la cĂ©lĂ©bration du premier congrès international du peuple tsigane, qui a eu lieu Ă Londres cette mĂŞme annĂ©e. C'est l'un des jours les plus importants de l'annĂ©e pour la communautĂ© gitane car lors de ce congrès, certaines questions fondamentales ont Ă©tĂ© convenues, telles que celles dĂ©taillĂ©es ci-dessousDrapeau du peuple gitan Le drapeau gitan est en fait une adaptation du drapeau de l'Inde, Ă©tant donnĂ© l'origine du peuple gitan. Il est divisĂ© en deux bandes horizontales, une bleue et une verte, avec une roue rouge au centre, qui symbolise le dĂ©sir de libertĂ© au-delĂ des frontières imposĂ©es. C'est la marque de fabrique de la communautĂ© rom Ă travers la international tsigane ou Gelem Gelem le titre signifie littĂ©ralement "j'ai marchĂ©" et fait rĂ©fĂ©rence Ă la condition itinĂ©rante du peuple gitan. Il est rĂ©digĂ© en langue romaine et traite entre autres du gĂ©nocide et des persĂ©cutions subis par le peuple tsigane par les troupes allemandes pendant la Seconde Guerre comme langue officielle l'Ă©tablissement du romano comme langue officielle des gitans Ă l'Ă©chelle mondiale signifiait la normalisation de leur alphabet et de leur grammaire. Il existe diffĂ©rents dialectes Ă travers le monde, comme le "calĂł" rĂ©pandu en journĂ©e est cĂ©lĂ©brĂ©e en appelant CĂ©rĂ©monie fluviale et c'est une excellente occasion pour les gitans du monde entier de se souvenir et de comprendre l'histoire de la Rome, ainsi que leur culture et leur langue. Dans celui-ci, des gitans du monde entier se rassemblent sur les rives des rivières pour cĂ©lĂ©brer cette journĂ©e avec une offrande de fleurs dans laquelle les femmes jettent des pĂ©tales de fleurs dans l'eau en symbole de libertĂ© et en reprĂ©sentation de l'exode du peuple gitan. plusieurs musique est sans aucun doute l'un des points forts du folklore au sein de la communautĂ© gitane. Bien que dans la musique gitane, vous puissiez entendre des sons qui rappellent largement l'Inde et des pays comme la Turquie, l'Iran et la Grèce, entre autres, sans aucun doute le style le plus populaire a Ă©tĂ© le flamenco, en particulier en Andalousie Espagne. .DĂ©clarĂ© patrimoine immatĂ©riel de l'humanitĂ© par l'UNESCO en 2010, le flamenco Il est aujourd'hui la marque de nombreux groupes et communautĂ©s Ă travers le monde, en particulier les gitans, pour qui ce n'est pas seulement un style musical, mais un Ă©lĂ©ment qui a jouĂ© un rĂ´le crucial dans leur gitans sont liĂ©s Ă la musique dès le plus jeune âge, car sa prĂ©sence est constante et presque quotidienne dans les familles gitanes. En fait, il est courant que les gitans apprennent d'abord Ă chanter les premiers bars de flamenco et plus tard Ă parler. En bref, les gitans ont apportĂ© une grande contribution au flamenco espagnol. Des exemples de ceci sont des chanteurs de la stature de Ketama, AzĂşcar Moreno, Antonio Flores, CamarĂłn, Paco de LucĂa, Navajita Plateá et un long les pays d'Europe de l'Est, le flamenco cesse de jouer un rĂ´le essentiel chez les gitans au profit des soi-disant musique gitane, communĂ©ment appelĂ©e musique hongroise pour sa renommĂ©e particulière parmi les gitans de Hongrie et de certaines rĂ©gions voisines. C'est un type de musique caractĂ©risĂ© par son exotisme et sa variĂ©tĂ© instrumentale, comme on peut le voir dans la vidĂ©o suivanteRespect du dĂ©funtLa mort est un autre des piliers fondamentaux de la vie d'un gitan et, par consĂ©quent, la douleur de l'individu est l'un des Ă©vĂ©nements les plus respectĂ©s de la communautĂ©. Lorsqu'un membre de la famille ou un ami proche meurt, les gitans portent souvent du noir jusqu'Ă 12 mois pour exprimer leur chagrin. En outre, lors du croisement avec la gitane affectĂ©e, des gestes de respect tels que la dĂ©sactivation de la musique ou de la tĂ©lĂ©vision ou l'arrĂŞt du chant et de la danse doivent ĂŞtre plus de porter du noir, les proches du dĂ©funt doivent appliquer une sĂ©rie de restrictions pour se conformer au deuilNe pas utiliser de savonNe pas se raserN'Ă©coute ni musique ni danseNe pas porter de nouveaux vĂŞtementsNe pas assister aux fĂŞtes communautairesNe pas peindreLes hommes doivent porter un petit ruban noir sur leur chemise pendant la pĂ©riode de deuil et le brĂ»ler Ă la fin. La durĂ©e de cela et du reste des restrictions dĂ©pend de la relation entre le dĂ©funt et l'autre personne, de sorte qu'elle peut durer d'une semaine Ă une annĂ©e entière. Aussi, lors de la visite du cimetière acte appelĂ© limoire bougies, fruits, cigarettes, fleurs, mĂŞme, les gitans montrent un grand respect pour leur dĂ©funt, c'est pourquoi l'une des pires insultes parmi eux est d'offenser les morts. La mort d'un gitan implique un rĂ©veil de jusqu'Ă 3 jours au cours duquel une sĂ©rie de traditions sont rĂ©alisĂ©es. L'une des plus courantes consiste Ă placer sous le cercueil les objets qui plaisaient le plus au dĂ©funt, qui peuvent aller du tabac aux fruits frais ou au est important de noter que la communautĂ© rom n'autorise pas autopsies le gitan doit ĂŞtre enterrĂ© au moment de sa mort, y compris les vĂŞtements, les bijoux et tout autre objet qui se trouvait avec lui au moment de la mort. Il s'agit d'une norme fondamentale chez les gitans qui ne variera que si le dĂ©funt indique le contraire dans la autre coutume profondĂ©ment enracinĂ©e consiste Ă organiser banquet funĂ©raire en mĂ©moire du gitan dĂ©cĂ©dĂ©. Il a lieu 7 jours après la mort, puis il est cĂ©lĂ©brĂ© Ă nouveau Ă 6 mois et Ă nouveau après un an. C'est une grande fĂŞte oĂą sont cuisinĂ©s les plats qui ont le plus plu au dĂ©funt, c'est pourquoi un espace est Ă©galement laissĂ© sur la table qui lui est est Ă©galement très courant de faire une sĂ©rie de promesses sacrĂ©es qui doivent ĂŞtre tenues après la mort. Si ces promesses ne sont pas tenues, l'individu peut ĂŞtre maudit ou Prokleto en langue romaine, c'est pourquoi il sera mĂ©prisĂ© et mĂŞme marginalisĂ© par le reste des membres de la d'un filsPour les gitans, l'arrivĂ©e d'un enfant dans la vie d'un couple mariĂ© est l'un des Ă©vĂ©nements les plus importants de la vie. Le jour de la naissance est vĂ©cu avec un immense bonheur par toute la famille des deux parents. En outre, il est important de noter que le sexe du premier enfant est toujours censĂ© ĂŞtre un homme, car, comme mentionnĂ© ci-dessus, plus le nombre d'hommes est Ă©levĂ©, plus la famille a de la pĂ©riode allant de la naissance au baptĂŞme de l'enfant, un Ă©vĂ©nement très spĂ©cial se dĂ©roule consistant en couper les premiers ongles de bĂ©bĂ© par le membre de la famille qui a la plus grande grâce pour les arts chanter, danser, jouer d'un instrument ou mĂŞme raconter des blagues. Par consĂ©quent, tout en coupant les ongles de l'enfant, vous devez faire ce que vous faites de mieux, car cela hĂ©ritera Ă©galement de cette grâce».Il y a aussi un rite de naissance auquel participent tous les membres de la communautĂ© gitane. Il s'agit d'une fĂŞte organisĂ©e au domicile du père ou du parrain, au cours de laquelle les liqueurs et sucreries ne manquent pas. Ce rituel sert Ă renforcer les liens familiaux entre la famille et le nouveau membre. Renforcer les liens sociaux Ă travers la figure du parrain, qui se trouve ĂŞtre appelĂ© compadre, il est Ă©galement de la plus haute religionLes Tsiganes ont toujours Ă©tĂ© croyants et ont Ă©tĂ© fortement liĂ©s au monde spirituel, d'oĂą l'ensemble des croyances qui existent autour d'un Dieu unique, protecteur et proche de leurs besoins. Cependant, la religion des Tsiganes varie selon l'endroit oĂą ils vivent. Bien que gĂ©nĂ©ralement la plupart des gitans avouent CatholiquesDans certains pays, il y a des adeptes de la religion musulmane et mĂŞme des chrĂ©tiens orthodoxes ou protestants. Au cours des dernières dĂ©cennies, il y a eu une tendance Ă la foi Tsiganes originaires d'Europe de l'Ouest France, Espagne, Portugal… montrent une nette prĂ©fĂ©rence pour la majoritĂ© de l'Église catholique, mais aussi pour l'Église Ă©vangĂ©lique de Philadelphie. En revanche, la religion de prĂ©fĂ©rence des gitans d'Europe de l'Est Albanie, Bulgarie, Hongrie, Pologne, Roumanie ... est l'Église catholique mĂŞme, l'Ă©thique et la religion sont Ă©troitement liĂ©es dans la culture gitane, c'est pourquoi un comportement magique-tabou y règne dans lequel le superstition joue un rĂ´le très important, et mĂŞme Ă certaines occasions sa manière d'agir sur l'influence religieuse. C'est la raison pour laquelle ils croient au mauvais Ĺ“il, au prĂ©sage, aux malĂ©dictions et Ă la divination, ainsi qu'aux pouvoirs spĂ©ciaux et particuliers qui existent chez certaines Dieu des Tsiganes Ă©tant une entitĂ© faite sur mesure et fabriquĂ©e selon leurs intĂ©rĂŞts, le Tsigane croit ne commettre de pĂ©chĂ© que lorsqu'il viole les droits de sa race. Les Tsiganes croient qu'ils offensent leur Dieu lorsqu'ils enfreignent l'une des règles imposĂ©es par la loi tsigane, comme manquer le sens de l'union ou ne pas aider les autres Sandra FernandezMis Ă jour le 03/02/2016 Cet article a Ă©tĂ© partagĂ© 898 fois. Nous avons passĂ© de nombreuses heures Ă collecter ces informations. Si vous l'avez aimĂ©, partagez-le, s'il vous plaĂ®t
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comme un gitan au salon de la caravane