Vousvoulez acheter un VR, une roulotte, une caravane, une remorque, un Winnebago ou une roulotte de parc? Trouvez-les localement à Longueuil/Rive Sud sur Kijiji, le site de petites annonces no 1 au Canada. Faire l’histoire d’un peuple n’est jamais simple. Faire l’histoire du peuple gitan en Espagne l’est encore moins. Bien souvent, on connait leur passé à travers la plume des autres. D’où viennent-ils ? Quels ont été leurs rapports avec les autorités et la population de la Péninsule à travers les siècles ? Qu’apportent-ils à la culture espagnole ? Quelle est leur situation actuelle ? D’où viennent-ils ? Autant briser directement le mystère il n’y a aucune certitude absolue quant à leur provenance. "Comme pour bien des périodes historiques lointaines", direz-vous et vous n’aurez pas tort. Ce que l’on sait mieux, pour le sujet qui nous intéresse, c’est que les Gitans pénètrent en Espagne pour la première fois au début du XVe siècle. Leurs chefs sont désignés comme provenant "d’Egypte Mineure". C’est où ça sur la carte l’Egypte Mineure ? Et bien, il s’agit en réalité du terme médiéval utilisé pour désigner une zone de l’Est de la Méditerranée Chypre, Syrie notamment. Aujourd’hui, les chercheurs pensent que les Gitans viennent plutôt du nord-est de l’Inde qu’ils auraient quitté aux alentours de l’An Mil avant d’entreprendre leur grande aventure vers l’Occident. Quoi qu’il en soit, et parce que l’étymologie est toujours intéressante, le terme "gitanos" en espagnol "gitans" en français, "gipsys" en anglais provient de la déformation du terme "egipcianos" c’est-à-dire "égyptiens" dans la langue de l’époque. Le bon temps des nobles d’Egypte Mineure Nous l’avons vu, les Gitans pénètrent en Espagne au début des années 1400. Bien souvent, ils se présentent comme chrétiens et disent être en pèlerinage vers Saint Jacques de Compostelle. Leurs chefs chaque groupe étant dirigé par un homme portent des titres de noblesse "conte" ou "duc" d’Egypte Mineure. Laissez-passer de Jean d’Egypte Mineure accordé par Alphonse V, 1425 source Ministère de la Culture, gouvernement espagnol C’est le cas de Jean Juan qu’on présente comme le premier Gitan d’Espagne. Nous savons que cet homme bénéficie pour lui et sa suite d’un laissez-passer reproduit ci-dessus signé en 1425 par le roi Alphonse V d’Aragon dit le "Magnanime" ce qui laisse à penser en passant que ce roi mériterait son surnom. Ce document accorde une protection à ces premiers Gitans à traverser les Pyrénées afin qu’ils puissent passer sans encombre en terres espagnoles. Par la suite, nous retrouvons la trace de Gitans en Galice en 1436. Ils sont reçus avec les honneurs à Jaén, en Andalousie, trente ans plus tard. C’est bien souvent oublié de nos jours, mais les Gitans sont, dans un premier temps, bien accueillis par les pouvoirs politiques ainsi que la population de la péninsule Ibérique. Cette attitude doit se comprendre dans le contexte de la fin de la "Reconquista" où la différence est beaucoup plus ténue entre le sédentaire et le nomade qu’entre le chrétien et le musulman. Le fait qu’ils se présentent comme chrétiens est capital. On estime à environ le nombre de Gitans dans la péninsule Ibérique au XVe siècle. Précisons qu’il ne s’agit pas d’un groupe unifié mais de plusieurs entités d’une centaine de personnes qui sont toujours dirigées par un homme. Ces ensembles sont donc indépendants même si des liens familiaux peuvent exister entre eux. Dès cette époque, ils sont nomades et vivent du spectacle ou de la divination. Les premiers historiens à avoir travailler sur l’histoire du peuple gitan estiment que cette période qui s’étend de 1425 à 1499 constitue un âge idyllique entre les nomades et les autochtones. Contre toute attente, la situation se tend à la toute fin du siècle. Le temps des rois catholiques moins favorable aux Gitans Comme nous l’avons vu, les Gitans à la fin du XVe siècle étaient acceptés en Espagne et même relativement intégrés. Par exemple, en 1498, Christophe Colomb, lors de son troisième voyage, en emmène quatre avec lui. Ce seront ainsi les premiers Gitans à toucher le sol du Nouveau Monde. De même, lorsque les couronnes d’Aragon et de Castille s’unissent en 1479, Ferdinand et Isabelle, les Rois Catholiques, ont une attitude plutôt conciliante envers eux. Ils conservent les lettres de protection existantes pour les Gitans présents et en promulguent même de nouvelles c’est le cas en 1491 à un certain Philippe d’Egypte Mineure. Les Rois catholiques Ferdinand et Isabelle source image tirée du domaine publicCependant, mus par une volonté de centraliser, d’unifier, de rétablir l’ordre et poussés par une Eglise puissante, les Rois Catholiques promulguent la "Pragmática" de Medina del Campo en 1499. Le statut des Gitans est durement revu dans ce document qui fera date. Le choix est simple soit ils se sédentarisent et se mettent sous la protection de seigneurs autochtones soit ils sont expulsés. Ils ont deux mois pour prendre une décision. C’est un coup de tonnerre pour la communauté gitane. Le petit-fils des Rois Catholiques, Charles Quint, ira plus loin en ajoutant qu’un Gitan pris pour la troisième fois en flagrant délit de vagabondage pourra être emprisonné et même réduit en esclavage pour toujours. Par ailleurs, les Gitans qui ne se sédentarisent pas dans un délai de 70 jours seront envoyés aux galères pendant plusieurs années. Cette politique est poursuivie par Philippe II qui interdit aux Gitans de se rendre en Amérique et fait même rapatrier ceux qui s’y trouvaient déjà. Même le grand écrivain Cervantès n’est pas tendre avec les Gitans. Dans un de ces romans, il écrit "Il semble que les Gitans et les Gitanes viennent seulement au monde pour voler". Malgré tout, la situation des Gitans s’améliore momentanément sous le roi Philippe IV qui, en 1633, décida, pour des raisons démographiques avant tout, de maintenir les Gitans sur le territoire péninsulaire. L’époque considérait, cyniquement sans doute à nos yeux contemporains, que chaque soldat comptait dans une Europe perpétuellement en guerre. Le temps des persécutions Des temps plus durs attendaient les Gitans d’Espagne. En effet, au milieu du XVIIIe siècle eut lieu la "Gran Redada" c’est-à-dire une politique impulsée par les pouvoirs politiques et surtout religieux qui avaient décidé d’en finir avec le mode de vie gitan. L’opération, qui aboutit à l’emprisonnement de Gitans, germa dans l’esprit de l’évêque d’Oviedo et fut autorisée par Ferdinand VI dit "le Juste" ce qui laisse à penser en passant que ce roi ne mériterait pas forcément son surnom. Cette période, qui constitue un temps fort de la mémoire gitane dans la Péninsule, dura près de vingt ans avant que le roi Charles III ne rétablisse la situation en libérant les derniers prisonniers en 1767. Gitans fuyant Tolède en 1749 Par la suite, les Gitans traversent le XIXe siècle en poursuivant leur histoire espagnole entre contacts, intégration, méfiance et rejet. Toutefois, le ciel s’assombrit à nouveau pour eux comme pour le reste des Espagnols au milieu des années 1930. La Guerre Civile est vue par les Gitans comme un conflit qui ne les concerne pas en marge de la société espagnole, ils s’estiment en marge de ses conflits internes. Cela n’empêche pas certains Gitans à s’engager, dans le camp anarchiste notamment. Mais le plus souvent, les Gitans ont été forcés de prendre parti. Les années franquistes furent particulièrement rudes pour la communauté. Pour faire simple, les Gitans incarnaient une sorte de contre-modèle pour les idéologues de l’Etat espagnol marginalisés, discriminés et même accusés de propager des maladies. Les Gitans aujourd’hui Dire que tout a changé de nos jours serait faux. Toutefois, il convient de prendre en compte des évolutions parmi lesquelles une institutionnalisation progressive des Gitans avec des associations et des instances représentatives qui voient le jour dès les années 1980. Outre le combat pour une meilleure intégration des Gitans dans la société, ces entités tâchent de faire vivre et de faire connaître aux non-Gitans la mémoire d’un peuple présent dans le pays depuis six siècles. Combien sont-ils de nos jours ? De au XVe siècle, les Gitans sont, en ce début de XXIème siècle, environ en Espagne. Notons qu’il s’agit d’une population très jeune car la moitié de celle-ci aurait moins de 25 ans. Ce qui change véritablement la donne pour une large frange de la population gitane c’est la mise en place de l’Etat providence après le franquisme l’accès à l’éducation, à la santé, à la retraite et aux logements sociaux. A la fin des années 1970, près des ¾ des Gitans habitent dans des campements ou des logements insalubres ils sont moins de 20% dans ce cas actuellement. Si l’avènement de la démocratie en Espagne a amélioré la vie des Gitans, des inégalités et des problèmes demeurent. A titre d’exemple, si presque tous leurs enfants vont à l’école, seulement 2% arrivent jusqu’à l’université parmi lesquels une écrasante majorité de jeunes femmes. Notons toutefois que, dans les années 1980, presque qu’aucun enfant gitan n’était scolarisé. Cette question de l’éducation est d’ailleurs révélatrice de la position complexe des Gitans dans la société espagnole entre marginalité subie et marginalité choisie. Ainsi, au départ, les parents de la communauté craignaient que la scolarisation de leurs enfants dans des écoles espagnoles allait en faire des "gadjos" c’est-à-dire des non-Gitans. Enfin, sur le plan professionnel, des divergences existent également entre non-Gitans et Gitans 85% des premiers sont salariés contre un tiers de la population active gitane. Certains membres de la communauté réussissent brillamment à s’intégrer dans la vie publique espagnole et parviennent à des fonctions supérieures. C’est le cas de María Hernández, conseillère municipale "Unidas Podemos" de Castille et Léon ou encore de l’avocat cordouan Marcos Santiago. María Hernández source Podemos Castilla y LeonIl n’en reste pas moins que, si l’Etat providence a constitué pour les Gitans une évolution positive, les difficultés ne se sont pas envolées en quelques années. Demeurent de nos jours de véritables problèmes socio-économiques comme le chômage qui atteint des chiffres très importants dans la communauté. Des Gitans socialement marginalisés mais culturellement appréciés ? Le cas de la musique gitane Quand on pense aux Gitans, de nombreux clichés nous traversent l’esprit. Parmi ceux-ci, l’image de dynamiques joueurs de guitare qui font ventiler leur main en grattant les cordes de manière à produire une rythmique très reconnaissable. Ajoutez à cela la vision de femmes dansant en robes rouges en tapant dans leurs mains et vous obtenez une association plus ou moins consciente de la culture gitane et du flamenco. Il faut en convenir, le terme "flamenco" est souvent utilisé à tort et à travers et surtout par nous autres, expatriés en Espagne. Toujours est-il que si les Gitans n’ont certainement pas inventé le flamenco dont les origines sont toujours aujourd’hui très floues, ils ont dans une large mesure contribué à fixer le genre par leur réinterprétation. Reconnu "patrimoine culturel immatériel de l’humanité" en 2010, le flamenco est une composante majeure de l’identité andalouse d’abord et, par extension, de la culture espagnole. Notons que le flamenco doit son renouvellement à des hommes comme Paco de Lucia ou Camarón de la Isla le premier a grandi en Andalousie dans un quartier populaire à majorité gitane et le second est issu d’une famille de la communauté. Ensemble, ils renouvellent le genre en faisant naitre le "Nouveau Flamenco", dans la deuxième moitié du XXe siècle. Enfin, d’autres musiciens gitans ont également marqué durablement la musique espagnole de ces dernières décennies. C’est le cas de groupes influencés par la rumba comme "Los Chichos", "Los Chungitos" ou "Las Grecas" par exemple. On s’éloigne des canons du flamenco et même l’origine géographique est différente Los Chungitos viennent d’Estrémadure tandis que les deux autres groupes sont madrilènes. Comme parfois dans les groupes de musiques et très souvent dans les groupes gitans, la dimension familiale est capitale "Las Grecas" sont deux sœurs et "Los Chungitos" trois frères. Le succès commercial est considérable. Par exemple, "Los Chichos" ont vendu plus de 22 millions d’album. Notons, et c’est intéressant pour notre sujet, que les thèmes des chansons de ces trois groupes sont très souvent en lien avec les difficultés de la condition des Gitans à notre époque pauvreté, exclusion, drogue…. En définitive, la réalité actuelle des Gitans est complexe. Entre marginalité subie et marginalisée choisie. Entre amélioration des conditions d’habitats et de l’accès à l’éducation mais crainte des anciens que les jeunes deviennent des "gadjos" ignorants de leur culture d’origine. Entre plébiscite de la musique gitane comme part de l’identité espagnole et méfiance pérenne à l’égard des anciens nomades.
Ptainc'est que de l'amour Putain c'est génial Je prends un panard pa-panard pas possible Dis donc j'suis pas chasseur mais j'lui mettrais bien une cartouche Écarte les roseaux j'vais pêcher au large Au putain j'me sens comme un gitan au salon d'la caravane Tiens j'te fais la moustache au chocolat Ptain j'me sens comme une couille dans un sloggy
L'ensemble des coutumes du peuple gitan a changé historiquement. Il existe de nombreuses différences en termes d'usages et de coutumes des gitans d'Espagne par rapport à ceux des autres pays européens ou sud-américains, bien qu'il y ait quelques caractéristiques communes que nous détaillerons vous avez un index avec tous les points que nous allons traiter dans cet de l'articleQuelles sont les principales coutumes des gitans? tsiganeQuand on parle de pouvoir» chez les gitans, cela se réfère au pouvoir qu'une famille de cette race a, qui sera d'autant plus grande qu'elle aura d'enfants de sexe masculin. Cette coutume est basée sur l'histoire du peuple gitan, selon laquelle plus il y a d'hommes, mieux une famille peut se les hommes d'une famille gitane peuvent être forts, mais ils doivent quand même gagner le respect des autres au fil du temps, ce qui ne peut être stricte conformité de la loi normes roms sont orales, ce qui signifie qu'elles n'apparaissent dans aucun type de livre de culte ou de code de droit écrit. La chose normale est que les anciens ou les patriarches président la loi gitane, donc ce règlement peut varier selon chaque famille et les croyances de leur patriarche. Même ainsi, en général, les actes suivants sont considérés par les Roms comme des crimes impardonnablesVol, tromperie ou accusation de gitane à de la famille dans les moments des frontières d'une famille opposée».Violation des lois imposées par un conseil d' convient de noter que, s’agissant d’une loi orale, les limites entre ce qui différencie la loi obligatoire des pratiques d’usage généralement pratiquées, mais non obligatoires des Roms sont souvent floues et facilement confuses, ce qui conduit souvent à des conflits même au sein d'une même violation de la loi tzigane entraîne généralement l'imposition d'un type de sanction qui dépendra de la gravité du crime. Les sanctions habituelles peuvent aller de l'agression physique à l'interdiction expresse de marcher sur un certain territoire. La sanction la plus grave serait expulsion du groupe familial auquel il appartient, dit exil».Valeurs fondamentalesLes Tsiganes ont toujours eu des traits identitaires caractéristiques et un mode de vie partiellement nomade en ce sens que, bien qu'ils vivent avec une certaine société, ils n'ont jamais mis de côté leurs coutumes et leurs valeurs Tsiganes ont un identité de fer, c'est pourquoi ils se comportent différemment selon qu'ils traitent avec des étrangers ou des proches. Alors que les premiers reçoivent généralement un traitement étranger comme cela se produit en Espagne avec l'utilisation du terme payer pour désigner ceux qui ne sont pas gitans, lorsqu'il s'agit de parents, l'autre doit être défendu s'il a été offensé, quelle qu'en soit la raison. Ainsi, ses principales valeurs sontLa famille comme institution suprêmeLes enfants et les personnes âgées jouissent du plus grand respect et de la plus haute considérationPrendre soin des enfants et des personnes âgéesÊtre hospitalier est une obligation qui doit s'exprimer avec plaisirL'accomplissement de la parole donnée et surtout la loi tsiganeLa liberté comme condition naturelle de l'individuSolidarité entre membres d'un même groupe ethniqueRespect des décisions des anciens si elles font partie de la loi romS'il y a un quelconque type de conflit entre les gitans, ceux qui doivent décider de la destination finale dudit différend seront les gitans de respect ou des gars de la région, qui formeront un Conseil des Anciens pour débattre de ce qui devrait être fait et enfin prendre une mesure qui mettra fin au conflit. La décision des gitans de respect sera basée, avant tout, sur les valeurs énumérées ci-dessus et doit être bénéfique pour les deux parties, qui doivent l'accepter quelle qu'elle mariage et mariageUn couple gitan qui décide de se marier doit passer par deux phases d'abord, la pétition, puis le mariage lui-même. La demande est la demande de la main de la gitane et commence par les applaudissements ou la demande de la main, quelque chose qui se passe entre le couple. Si tout se passe comme prévu, l'approbation doit être officialisée et communiquée à la famille par le biais de la fois annoncé à l'ensemble du groupe, le mariage sera organisé, ce qui dépendra des moyens financiers des familles concernées. Cependant, les mariages sont la principale cérémonie sociale célébrée dans la communauté gitane, ils sont donc généralement organisés en grand. Les mariages tsiganes ont lieu le matin selon le rite évangéliste ou catholique. De plus, selon la tradition gitane, les deux membres du couple doivent arriver vierges au mariage, ce que l'on appelle la les communautés gitanes les plus machistes considèrent que les hommes ont la liberté de choisir s'ils veulent conserver leur pureté jusqu'au mariage ou non, donc quel que soit leur choix personnel, il sera respecté. Cela ne s'applique pas aux femmes, qui ne peuvent pas se marier si elles ne sont pas vierges, à moins qu'un homme célibataire ne veuille se réunir» avec elle, comme le dit la tradition virginité de la femme est si importante pour la communauté gitane que l'appel lui est fait le jour du mariage test de mouchoir. Cet acte, qui est effectué par une femme qui reçoit le nom de ajuntaora, consiste à introduire un mouchoir à la mariée dans son vagin pour vérifier si le mouchoir est taché ou non de sang les soi-disant trois roses». S'il tache, il ne fait aucun doute qu'il est vierge et peut donc se l'épreuve du mouchoir, en plus de la "ajuntaora", plusieurs femmes invitées au mariage agissent comme témoins. Le foulard utilisé mesure généralement un demi-mètre de long, est blanc et est décoré de roses et d'une bande brodée. La réalisation de ce test est un service préalablement souscrit et pouvant coûter jusqu'à 600 euros, prix du mouchoir compris. Cet acte démontre la légitimité du mariage et est célébré en chantant le célèbre internationale du peuple tsiganeDepuis 1971, le 8 avril de chaque année, la Journée internationale du peuple tsigane est célébrée pour commémorer la célébration du premier congrès international du peuple tsigane, qui a eu lieu à Londres cette même année. C'est l'un des jours les plus importants de l'année pour la communauté gitane car lors de ce congrès, certaines questions fondamentales ont été convenues, telles que celles détaillées ci-dessousDrapeau du peuple gitan Le drapeau gitan est en fait une adaptation du drapeau de l'Inde, étant donné l'origine du peuple gitan. Il est divisé en deux bandes horizontales, une bleue et une verte, avec une roue rouge au centre, qui symbolise le désir de liberté au-delà des frontières imposées. C'est la marque de fabrique de la communauté rom à travers la international tsigane ou Gelem Gelem le titre signifie littéralement "j'ai marché" et fait référence à la condition itinérante du peuple gitan. Il est rédigé en langue romaine et traite entre autres du génocide et des persécutions subis par le peuple tsigane par les troupes allemandes pendant la Seconde Guerre comme langue officielle l'établissement du romano comme langue officielle des gitans à l'échelle mondiale signifiait la normalisation de leur alphabet et de leur grammaire. Il existe différents dialectes à travers le monde, comme le "caló" répandu en journée est célébrée en appelant Cérémonie fluviale et c'est une excellente occasion pour les gitans du monde entier de se souvenir et de comprendre l'histoire de la Rome, ainsi que leur culture et leur langue. Dans celui-ci, des gitans du monde entier se rassemblent sur les rives des rivières pour célébrer cette journée avec une offrande de fleurs dans laquelle les femmes jettent des pétales de fleurs dans l'eau en symbole de liberté et en représentation de l'exode du peuple gitan. plusieurs musique est sans aucun doute l'un des points forts du folklore au sein de la communauté gitane. Bien que dans la musique gitane, vous puissiez entendre des sons qui rappellent largement l'Inde et des pays comme la Turquie, l'Iran et la Grèce, entre autres, sans aucun doute le style le plus populaire a été le flamenco, en particulier en Andalousie Espagne. .Déclaré patrimoine immatériel de l'humanité par l'UNESCO en 2010, le flamenco Il est aujourd'hui la marque de nombreux groupes et communautés à travers le monde, en particulier les gitans, pour qui ce n'est pas seulement un style musical, mais un élément qui a joué un rôle crucial dans leur gitans sont liés à la musique dès le plus jeune âge, car sa présence est constante et presque quotidienne dans les familles gitanes. En fait, il est courant que les gitans apprennent d'abord à chanter les premiers bars de flamenco et plus tard à parler. En bref, les gitans ont apporté une grande contribution au flamenco espagnol. Des exemples de ceci sont des chanteurs de la stature de Ketama, Azúcar Moreno, Antonio Flores, Camarón, Paco de Lucía, Navajita Plateá et un long les pays d'Europe de l'Est, le flamenco cesse de jouer un rôle essentiel chez les gitans au profit des soi-disant musique gitane, communément appelée musique hongroise pour sa renommée particulière parmi les gitans de Hongrie et de certaines régions voisines. C'est un type de musique caractérisé par son exotisme et sa variété instrumentale, comme on peut le voir dans la vidéo suivanteRespect du défuntLa mort est un autre des piliers fondamentaux de la vie d'un gitan et, par conséquent, la douleur de l'individu est l'un des événements les plus respectés de la communauté. Lorsqu'un membre de la famille ou un ami proche meurt, les gitans portent souvent du noir jusqu'à 12 mois pour exprimer leur chagrin. En outre, lors du croisement avec la gitane affectée, des gestes de respect tels que la désactivation de la musique ou de la télévision ou l'arrêt du chant et de la danse doivent être plus de porter du noir, les proches du défunt doivent appliquer une série de restrictions pour se conformer au deuilNe pas utiliser de savonNe pas se raserN'écoute ni musique ni danseNe pas porter de nouveaux vêtementsNe pas assister aux fêtes communautairesNe pas peindreLes hommes doivent porter un petit ruban noir sur leur chemise pendant la période de deuil et le brûler à la fin. La durée de cela et du reste des restrictions dépend de la relation entre le défunt et l'autre personne, de sorte qu'elle peut durer d'une semaine à une année entière. Aussi, lors de la visite du cimetière acte appelé limoire bougies, fruits, cigarettes, fleurs, même, les gitans montrent un grand respect pour leur défunt, c'est pourquoi l'une des pires insultes parmi eux est d'offenser les morts. La mort d'un gitan implique un réveil de jusqu'à 3 jours au cours duquel une série de traditions sont réalisées. L'une des plus courantes consiste à placer sous le cercueil les objets qui plaisaient le plus au défunt, qui peuvent aller du tabac aux fruits frais ou au est important de noter que la communauté rom n'autorise pas autopsies le gitan doit être enterré au moment de sa mort, y compris les vêtements, les bijoux et tout autre objet qui se trouvait avec lui au moment de la mort. Il s'agit d'une norme fondamentale chez les gitans qui ne variera que si le défunt indique le contraire dans la autre coutume profondément enracinée consiste à organiser banquet funéraire en mémoire du gitan décédé. Il a lieu 7 jours après la mort, puis il est célébré à nouveau à 6 mois et à nouveau après un an. C'est une grande fête où sont cuisinés les plats qui ont le plus plu au défunt, c'est pourquoi un espace est également laissé sur la table qui lui est est également très courant de faire une série de promesses sacrées qui doivent être tenues après la mort. Si ces promesses ne sont pas tenues, l'individu peut être maudit ou Prokleto en langue romaine, c'est pourquoi il sera méprisé et même marginalisé par le reste des membres de la d'un filsPour les gitans, l'arrivée d'un enfant dans la vie d'un couple marié est l'un des événements les plus importants de la vie. Le jour de la naissance est vécu avec un immense bonheur par toute la famille des deux parents. En outre, il est important de noter que le sexe du premier enfant est toujours censé être un homme, car, comme mentionné ci-dessus, plus le nombre d'hommes est élevé, plus la famille a de la période allant de la naissance au baptême de l'enfant, un événement très spécial se déroule consistant en couper les premiers ongles de bébé par le membre de la famille qui a la plus grande grâce pour les arts chanter, danser, jouer d'un instrument ou même raconter des blagues. Par conséquent, tout en coupant les ongles de l'enfant, vous devez faire ce que vous faites de mieux, car cela héritera également de cette grâce».Il y a aussi un rite de naissance auquel participent tous les membres de la communauté gitane. Il s'agit d'une fête organisée au domicile du père ou du parrain, au cours de laquelle les liqueurs et sucreries ne manquent pas. Ce rituel sert à renforcer les liens familiaux entre la famille et le nouveau membre. Renforcer les liens sociaux à travers la figure du parrain, qui se trouve être appelé compadre, il est également de la plus haute religionLes Tsiganes ont toujours été croyants et ont été fortement liés au monde spirituel, d'où l'ensemble des croyances qui existent autour d'un Dieu unique, protecteur et proche de leurs besoins. Cependant, la religion des Tsiganes varie selon l'endroit où ils vivent. Bien que généralement la plupart des gitans avouent CatholiquesDans certains pays, il y a des adeptes de la religion musulmane et même des chrétiens orthodoxes ou protestants. Au cours des dernières décennies, il y a eu une tendance à la foi Tsiganes originaires d'Europe de l'Ouest France, Espagne, Portugal… montrent une nette préférence pour la majorité de l'Église catholique, mais aussi pour l'Église évangélique de Philadelphie. En revanche, la religion de préférence des gitans d'Europe de l'Est Albanie, Bulgarie, Hongrie, Pologne, Roumanie ... est l'Église catholique même, l'éthique et la religion sont étroitement liées dans la culture gitane, c'est pourquoi un comportement magique-tabou y règne dans lequel le superstition joue un rôle très important, et même à certaines occasions sa manière d'agir sur l'influence religieuse. C'est la raison pour laquelle ils croient au mauvais œil, au présage, aux malédictions et à la divination, ainsi qu'aux pouvoirs spéciaux et particuliers qui existent chez certaines Dieu des Tsiganes étant une entité faite sur mesure et fabriquée selon leurs intérêts, le Tsigane croit ne commettre de péché que lorsqu'il viole les droits de sa race. Les Tsiganes croient qu'ils offensent leur Dieu lorsqu'ils enfreignent l'une des règles imposées par la loi tsigane, comme manquer le sens de l'union ou ne pas aider les autres Sandra FernandezMis à jour le 03/02/2016 Cet article a été partagé 898 fois. Nous avons passé de nombreuses heures à collecter ces informations. Si vous l'avez aimé, partagez-le, s'il vous plaît
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